jeudi 7 juin 2012

je contribue pour étudiante-célibataire.com (suite et fin)


Bonjour à toutes, vous l’avez attendue et comme promis, je vous livre la fin de mon aventure avec ma directrice adjointe… Bonne lecture !
Je n’en pouvais, plus, je me retenais afin de respecter le silence qu’elle m’avait demandé, mais dieu que c’était dur. Toujours plaquée contre le mur de la douche, ma poitrine était compressée contre cette paroi. L’eau, coulait toujours, sur moi, venant augmenter encore un peu plus la température de mon corps qui bouillonnait du désir, et du plaisir à venir…
Je tentais, de me retourner afin de gouter à nouveau à ses lèvres, je reçu pour cette tentative une gifle qui me brûla la joue. Elle s’approcha de moi, et murmura à mon oreille, « ici, c’est moi qui décide, toi, tu obéi, tu ne poses pas de questions, tu te tais, sauf si je te l’autorise, c’est bien clair ? » je déclarais timidement, un « oui, madame »…
Elle fit alors passer, doucement sa main, derrière ma nuque, me saisie fermement et m’obligea à me mettre à ses genoux, elle me tendit une jambe, je compris bien vite que je devais faire sa toilette de ma langue, ce que j’exécutais… je m’appliquais à parcourir tendrement ses jambes afin des les nettoyer, en les embrassant, en les parcourant de ma langue, remontant fatalement vers son magnifique abricot…

Alors que j’approchais, mes lèvres de cette merveille, je sentis sa main me plaquer littéralement le visage contre celui-ci, je l’embrassa avec toute l’application que je pouvais mettre, lapant cet abricot qui s’offrait à moi. J’osais glisser ma langue, entre ses lèvres, le parcourant de tout son long, me stoppant, sur son bouton, le pressant de ma langue, sa main exerça une pression plus forte sur ma tête, m’encourageant à continuer, je pouvais sentir son bassin, commencer à onduler sous mes caresses buccales…

Alors que je posais mes doigts à l’entrée de son abricot, elle me saisie par les deux mains, me releva, me plaqua dos au mur, et m’ordonna d’enlever mon string, tandis qu’elle fouillait dans ma trousse de toilette, quand elle revint, elle avait les mains vides, mais ses yeux parlaient pour elle. Elle m’ordonna de me mettre à quatre pattes, les fesses tendues, et les jambes écartées. Alors que je jubilais dans ma tête en me disant que c’était à mon tour de prendre du plaisir, au lieu de sentir sa langue, ses lèvres, ou ses doigts, comme attendu, je fus surprise de sentir, un objet dur et lisse, s’insérer en moi… J’étais très excitée par la situation et l’objet en question n’eu aucune difficulté à me pénétrer…

Laissant place au plaisir, la surprise et la curiosité de savoir ce que c’était s’effacèrent. J’avais de plus en plus de mal à garder mes gémissements pour moi tendis que le plaisir montait, une violente claque sur mes fesses, me rappela à l’ordre, tandis que Laura, me dévoilant ainsi l’objet qui me pénétrait, me dit «vu comment tu es excitée ma petite, cette brosse ne sera pas suffisante »…

Elle retira brusquement la brosse, et après quelques secondes, je pus sentir, cette même brosse, caresser l’orée de mes fesses, elle parcourra le sillon de ces dernières, s’arrêtant sur mon œillet… Elle force le passage, ce n’est pas la première mais tout de même, je ne peux rien faire, je me laisse faire, la brosse, s’engouffre en moi, je me tends, elle continue, elle me l’enfonce autant qu’elle peut, et me dit « tula ferme et t’efforce de la garder en toi, et sans les mains », je m’exécute…
Je me sens abandonnée là pendant quelques secondes, tentant de garder la brosse en moi tant bien que mal, quand je sens un autre objet beaucoup plus gros celui-ci forcer mes lèvres, en me pénétrant je peux reconnaitre l’objet qui s’immisce en moi, merde, mon gel douche,…

La brosse, elle se met en mouvement, doucement tout d’abords, en rythme avec les vas et viens, qui me pénètrent plus bas, le plaisir monte, je le sens, tout s’accélère, ma respiration, le sang me monte aux tempes, j’ai chaud, mon cœur et mon corps suivent les mouvements, je me mord les lèvres pour étouffer mes gémissements, je n’en peux plus, il est là, tout de suite, m’attrapant au bas ventre, comme une boule de feu, que je ne peux taire, mon gémissement qui n’en estus un, retentit et je m’écroule à plat ventre sur le sol de la douche, mes orifices encore occupés… Sans les retirer, Laura ma retourne me met sur le dos et me gifle de nouveau, « je t’avais dit garder tes cris pour toi ».

Elle se relève, me laissant comme ça sur le sol, elle se sèche avec ma serviette, je reprends mon souffle tant bien que mal, elle se rhabille, me regarde et me dit, « Tu seras punie demain, pendant le voyage, on a plusieurs heures de trains, on règlera ca dans les WC ». Puis elle me tourne dos, et quitte la douche…
J’ai du mal à me remettre de mes émotions, mais je savoure pleinement ce moment qui reste gravé,quand à ce qu’il s’est passé après, je vous laisse deviner, mais c’est une autre histoire…


En espérant que ce récit vous ai plut! 
A très bientôt.

Je vous embrasse!

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