jeudi 10 mai 2012

je contribue pour étudiante-célibataire.com

Bonjour à toutes et à tous!!!

Un petit article aujourd'hui relatant, une des mes petites aventure, 
offerte au site etudiante-celibataire.
Allez faire un tour sur ce site vraiment bien fait!

Je vous livre cette histoire ici, dans son texte "intégral"...





Les Ébats De Lola

Cet été là, je travaillais en tant qu’animatrice au sein d’une colo en Corse. Les jours se suivaient, et ne se ressemblaient pas. On était une équipe de 11 adultes encadrant ce séjour, 6 nanas et 5 mecs.
Il se trouve que moi Lola, du haut de mes 18 ans, étais la plus jeune du groupe. Tous les soirs, ça fricotait entre les animateurs, sauf moi qui, ayant revendiqué très clairement mon attirance pour les femmes, ne semblait intéresser ni les gars, ni les filles.
Pour le dernier soir, tout le monde était sur son 31. Je m’étais aussi pouponnée, j’avais ôté mes baskets de rigueur en séjour et sortit mes talon, j’avais opté pour une jupe assez droite et ajustée qui me tombait bien au dessus des genoux et un tee-shirt assez large qui me créait un décolleté réservé mais présent tout de même…
L’alcool commençait à monter, et je dois bien avouer qu’au bout de ces trois semaines d’abstinence, je n’aurais pas craché sur un câlin féminin! Bref, je n’en pouvais plus et ce n’était pas mes masturbations nocturnes qui auraient suffit à me satisfaire. N’ayant plus rien à perdre, et l’alcool aidant, j’haranguais mes collègues d’un superbe et audible, « je vais me doucher mesdemoiselles, si cela intéresse quelqu’un ! »
Je dois bien avouer, que c’était plus un cri de désespoir et que je n’attendais pas la moindre réaction de ces dernières même si l’espoir persistait…
Je file donc dans ma chambre, récupère deux trois affaires et file donc sous la douche. Je n’ai pas le temps de fermer ma porte qu’on me la rouvre immédiatement, et qu’on s’introduit avec moi dans la pièce… Je n’eu pas le temps de comprendre qui avait répondu à mon appel que des lèvres happèrent les miennes, les caressa, m’embrassant avec une délicatesse que je savais féminine…
Ce baisé dura un moment, et ce fût seulement lorsque nos visages s’éloignèrent, que je pus voir la personne qui me tenait dans ses bras…
J’avais en face de moi ma directrice-adjointe, et il faut bien dire, que je comptais encore moins sur elle que sur les autres, faute à la hiérarchie et à son âge probablement. Elle s’appelait, Laure, elle était plus grande que moi d’une demi-tête à peu près. Elle avait un corps superbe, plein de grâce, une grande brune, avec un visage autoritaire, j’adorais ! Elle me sera dans ses bras, posa ses lèvres dans mon cou, je pouvais humer son parfum, le visage enfoui dans ses cheveux… J’hésitais un moment, puis posa une de mes mains sur sa nuque, l’autre sur ses hanches… Sa bouche remonta de mon cou pour venir à nouveau se saisir de mes lèvres, mon dieu que c’était doux et sensuel… Je lui rendis son baisé en lui offrant ma langue qui cherchait à gouter cette femme de 8ans mon ainé. Mes mains étaient passées sous son tee-shirt afin de caresser sa peau, je sentis sa main à elle venir se poser sur ma cuisse, j’en frissonnais…
Sa main remonta sous ma cuisse venant se poser à la naissance de mes fesses, je n’en pouvais plus depuis le temps que je rêvais de partager un doux moment avec une femme… Lorsque je voulu poser ma main sur un de ses seins, elle me repoussa, me plaquant d’une mais sur le mur de la douche. Elle posa son index sur mes lèvres, pour me faire comprendre, de ne surtout pas parler…
Elle commença par enlever son haut, puis fît glisser son short le long de ses jambes. Elle était là en lingerie devant moi, dans un ensemble superbe de dentelles noires. Elle attrapa mes mains, les poussa tout en me maintenant par les poignets de chaque cotés de ses hanches et me fit enlever son string qui cachait un abricot magnifique, tout juste orné d’une ligne de poils qui montraient la direction du bonheur… Elle fit de même pour me faire enlever son soutient-gorges, dévoilant une superbe poitrine généreuse, dont émanait une douceur perceptible…
Afin, de tenter de lui rendre la pareil, j’entrepris de me déshabiller moi aussi, je n’eu pas même le temps de commencer, qu’elle me posa face au mur, et ouvrit l’eau, qui venait ainsi me tremper…
Je pouvais sentir sa poitrine se presser contre mon dos, ses mains remonter ma jupe, elle commença ses caresses… Elle fit glisser ses doigts, le long de ma raie, les posa à l’entrée de mon abricot, tenta une première fois de s’y insérer à travers mon string, et n’allant pas plus loin, remonta le long de ma fente afin de se poser en appliquant une pression sur mon clitoris…
Mon souffle s’haletait, s’accélérait, elle faisait de moi ce qu’elle voulait, mes vêtements pesaient sur mon corps, tant ils étaient trempés…


Pour faire durer le plaisir de cette soirée magique, je vous raconterai bientôt la fin de mon récit.




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